"UN stylo !!! UNE orange !!!" - exclamation du professeur dans mon tout premier cours de français
vendredi 30 novembre 2012
jeudi 29 novembre 2012
Projet "Ethnofamille"
Après une longue période de passivité, je me suis décidé de devenir sérieux, d'agir et me comporter comme un "acteur social", un "citoyen responsable", un "ethnologue", un "créatif" et comme un "professionnel". Là encore, il vaut mieux tard que jamais, et j'ai crée un projet "ethnologique" ensemble avec mes trinômes Bérénice et Laurent il y a trois semaines.
Famille
Le sujet de départ et le titre de travail de notre projet consiste en un mot, "famille", et donc une thème très vaste qu'il nous a fallu définir au fur et à mesure comme l'exprime aussi bien Abir sur son blogue (http://flenaitre.blogspot.fr/2012/11/a-quoi-cela-nous-mene-la-particularite.html). Il faut apprendre à se limiter et au même temps rendre le projet passionnant pour notre entourage fictif d'apprenants et d'enseignants. Savoir mettre en scène est une compétence dont on a besoin, même avec le matériel important que nous avons pu enregistré depuis le début de ce projet.
Nous avons donc suivi les conseils de notre professeur Claude Springer, d'aller faire du travail de terrain sans savoir exactement quels allaient en être les résultats. Bérénice est allé filmé sa tante et son mari, Laurent a abordé trois personnes de différents âges qu'il a pu questionné sur leurs regards sur la notion de "famille, et moi-même j'ai enregistré en vidéo le Monsieur de 99 ans chez lequel je loge depuis ce semestre.
Le mercredi d'après nous sommes revenu en cours de TIC avec nos trésors "ethnologiques" à partir desquels nous allions définir la suite de notre projet.
La troisième réunion a eu lieu hier, où nous étions encore un peu perdu par rapport à ce que nous avions à faire par la suite. J'avais amené trois pages de BD pour Laurent, ce qui était un progrès. Toutefois M. Springer nous a encouragé à revoir la définition même de notre projet qui était trop vague et pas assez "sexy" pour séduire notre public visé.
Notre projet reste un processus intéressant qui nous amène à être créatifs et à voir le monde autrement. La créativité, c'est reapprendre ce que l'on a déjà connu comme enfant. Soyons créatifs !
Voici les BDs que j'ai fait mardi dernier à partir des descriptions de Laurents de ses trois interlocuteurs :
a)
Famille
Le sujet de départ et le titre de travail de notre projet consiste en un mot, "famille", et donc une thème très vaste qu'il nous a fallu définir au fur et à mesure comme l'exprime aussi bien Abir sur son blogue (http://flenaitre.blogspot.fr/2012/11/a-quoi-cela-nous-mene-la-particularite.html). Il faut apprendre à se limiter et au même temps rendre le projet passionnant pour notre entourage fictif d'apprenants et d'enseignants. Savoir mettre en scène est une compétence dont on a besoin, même avec le matériel important que nous avons pu enregistré depuis le début de ce projet.
Nous avons donc suivi les conseils de notre professeur Claude Springer, d'aller faire du travail de terrain sans savoir exactement quels allaient en être les résultats. Bérénice est allé filmé sa tante et son mari, Laurent a abordé trois personnes de différents âges qu'il a pu questionné sur leurs regards sur la notion de "famille, et moi-même j'ai enregistré en vidéo le Monsieur de 99 ans chez lequel je loge depuis ce semestre.
Le mercredi d'après nous sommes revenu en cours de TIC avec nos trésors "ethnologiques" à partir desquels nous allions définir la suite de notre projet.
La troisième réunion a eu lieu hier, où nous étions encore un peu perdu par rapport à ce que nous avions à faire par la suite. J'avais amené trois pages de BD pour Laurent, ce qui était un progrès. Toutefois M. Springer nous a encouragé à revoir la définition même de notre projet qui était trop vague et pas assez "sexy" pour séduire notre public visé.
Notre projet reste un processus intéressant qui nous amène à être créatifs et à voir le monde autrement. La créativité, c'est reapprendre ce que l'on a déjà connu comme enfant. Soyons créatifs !
Voici les BDs que j'ai fait mardi dernier à partir des descriptions de Laurents de ses trois interlocuteurs :
a)
b)
c)
"Courte" présentation de moi-même
Il vaut mieux tard
que jamais
Bonjour chers lectrices et lecteurs !
Avant que j'aille publier plus d'articles sur ce blogue, qui existe
au sein de ma formation de Français Langue Etrangère, je vais
d'abord me présenter en quelques mots :
Je m'appelle Napoléon et je suis un
étudiant et potentiellement un futur-enseignant, inscrit en Master
1 de FLE à l'Université de Provence à Aix-en-Provence. Je suis,
comme beaucoup d'autres étrangers qui étudient le français, tombé amoureux
de la langue française au sein de mes premier cours de français au
lycée dans mon pays les Îles Féroé (archipel autonome dans le royaume
du Danemark, situé à mi-chemin entre l'Islande, l'Ecosse et la
Norvège). J'avais un professeur de français qui j'évalue comme un
des meilleurs professeurs de ma vie. Ce dernier m'a contaminé avec sa grande
passion pour la francophonie.
Réalisation d'un rêve
Mon rêve de venir en France afin de
perfectionner mes connaissances de cette langue s'est accompli après
trois ans d'hésitation : avec l'aide de mon père et un ami
français, j'ai sauté du nid et me suis inscrit dans l'école de
langue SCEFEE à Aix-en-Provence en 2008.
Un an après je me trouve sous statut
d'étudiant en double cursus de Sciences du langage et Allemand, pour
les raisons respectives : 1) j'ai une facilité pour les langues et
ressentis l'ambition de pouvoir enseigner le français dans mon pays
d'origine dans l'avenir, 2) j'ai pris l'allemand en plus parce que
pour avoir du travail dans les établissements scandinaves comme allemand, il
faut être enseignant en deux matières différentes (par exemple,
enseigner le français et la religion, l'allemand et mathématique,
etc).
Les doutes
Après quatre, je me trouve toujours dans
le contexte de mes études de FLE à Aix-en-Provence. J'avoue que la
bonne attitude ne va pas de soi, et par conséquent mon implication
dans le master FLE a été médiocre pendant les premiers mois de ce
master. Les raisons pour cette mauvaise attitude en début d'année
ont résulté de : 1) mon regret de ne pas être allé en Allemagne
pour perfectionner mes connaissances d'allemand, et 2) le fait que je n'ai
pas pu faire un master combinatoire de film documentaire et de FLE au même temps.
Je pense que je suis quelqu'un qui n'arrive pas facilement à s'engager dans une spécialisation spécialisée, mais ai une tendance à aimer beaucoup de choses (en particulier l'artistique et le social) au lieu de se spécialiser dans la recherche scientifique pure et stable d'un domaine précis. Enfin, je ne suis pas fataliste, tout s'apprend !
Je pense que je suis quelqu'un qui n'arrive pas facilement à s'engager dans une spécialisation spécialisée, mais ai une tendance à aimer beaucoup de choses (en particulier l'artistique et le social) au lieu de se spécialiser dans la recherche scientifique pure et stable d'un domaine précis. Enfin, je ne suis pas fataliste, tout s'apprend !
Attitude veut tout dire
"Je ne regrette rien", chante
Piaf, et je suis très content d'être revenu à Aix-en-Provence. En
tout cas je crois que tout a un sens, et que c'est impossible de
regretter un choix, car ce choix m'a mené à rencontrer des
personnes merveilleuses et à approfondir mes relations déjà
établies en France. En outre j'approfondis mes connaissances du
français et son enseignement qui me seront sans doute utiles plus
tard dans la vie.
Mon challenge cette année est donc :
- de cultiver une attitude positive
- d'acquérir un meilleur niveau d'autonomie de travail et d'auto-motivation dans le scolaire
- d'arriver à mieux gérer mon temps afin de réaliser un ou deux de mes nombreux projets non-scolaires
Bon courage à moi. Il vaut mieux tard
que jamais ! C'est ensemble que nous réussissons.
Be U
Néanmoins, il y a des livres très intéressants ici, derrière moi l'étagère d'Architecture, devant moi la Musique et le Cinéma, et après il y a toutes les personnes qui m'entourent, chacune d'elle est un livre ouvert et vivant, prêt à être découvert par le lecteur intéressé. Bon, au boulot boulot.. (je n'aime pas travailler), d'accord, tu ne vas pas "travailler", tu vas DECOUVRIR des choses EXTRORDINAIRES et accomplir des tâches d'une importance énorme pour l'humanité. Vas-y Superman, il y a des vies à sauver. Don't ask what the country can do for you, but ask what you can do for country. D'accord, je vais ainsi sonder les grottes secrètes ici à la Bibliothèque de l'Univers.
lundi 22 octobre 2012
Présentation de blogue, "La classe des inclassables"
"La classe des inclassables"
Ukulélé-cordialement bienvenuE sur mon blogue "La classe des inclassables", inauguré au nom du master 'Français Langue Etrangère' (formation d'enseignant de langue), le voilà - un endroit pour celles et ceux qui aiment la classe de langue sans vouloir être "classéEs". La classe de langue ne se limite pas à une salle en béton et être enseignant de langue ne se réduit pas non plus à un métier - c'est toute une aventure de vie qui s'ouvre vers un univers infini de possibilités qui commence à partir d'un groupe de protagonistes qui ont chacun quelque chose à apporter au tableau imaginaire de la classe. Portés par les ailes de la curiosité, l'humour et l'envie de créer, les apprenants seront encouragé à reprendre leurs stylos d'enfance afin d'oser de dessiner des moutons de toutes les couleurs. Encore bienvenuE, cher petit prince ou petite princesse, dans une classe qui a la classe !
Dessin comparatif : un professeur motivé, ou un professeur qui compte les jours restants avant sa retraite ? |
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